Ce n’est pas une théorie pour faire joli
dans le salon du mental
tu veux le sauvage et l’amour
Avec humilité je te donne les yeux de la déesse
sur un plateau d’or
De ces trilogies gigognes la plus proche
je retiens l’attraction la photographie
à l’embarcadère des âmes
réelle cette magie
jusque dans les ruelles ouvrières
alors que la machine exulte
Le temps ne nous a pas permis de nous rapprocher
il nous aurait fallu un million d’années
tant la roche était dure
maintenant je peux donner corps à cet univers
devenu liquide
je te sais tendue dans un clair-obscur
un peu en amont ta sensualité me désigne
avec toute sa puissance polaire
jeune nymphe boréale étourdie d’équateurs
je ne connais pas la dimension de ton arbre
je connais à peine et si peu la branche
sur laquelle tu te reposes
La poésie ne peut faire joli
elle effleure la beauté..et puis s’en va…
superbe
merci Pierre
je t’embrasse très fort
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Merci Barbara
je t’embrasse très fort aussi
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Très beau texte qui emporte loin.
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Merci
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